Le Phénomène / une respiration orchestrale
Le Phénomène semble surgir de manière chaotique. Mais derrière l’apparent désordre, une structure se dessine : des vagues, des lieux, un code.
À première vue, les apparitions d’OVNIs ou d’UAPs paraissent aléatoires.
Des vagues ici, des témoignages là, puis le silence, puis une nouvelle flambée.
Mais si l’on regarde de plus près, une autre image émerge : celle d’une respiration orchestrale.
Une loi temporelle
Le chercheur français Michael Vaillant a mis en évidence une régularité : les vagues d’observations suivent une loi mathématique, fondée sur des puissances de deux.
Autrement dit, le Phénomène ne se manifeste pas n’importe quand.
Il suit une trame temporelle, comme une partition où chaque note est placée avec soin.
Loin du chaos, c’est une pédagogie du temps.
L'entretien entre entre Simon (ET PAN !) et Michael Vaillant, est disponible ici (Youtube, 1h21).
Une géographie ciblée
Cette orchestration n’est pas seulement temporelle.
Elle est aussi spatiale.
Les vagues se concentrent dans certaines zones : à proximité de sites nucléaires, dans des régions culturellement résistantes, ou là où l’impact sera le plus fort.
Comme si le Phénomène choisissait ses terrains avec une précision stratégique, pour susciter l’attention là où elle est la plus difficile à maintenir.
Une pédagogie planétaire
Vu ainsi, le Phénomène n’est pas seulement une suite de manifestations étranges.
C’est une leçon planétaire, dispensée par vagues, dans l’espace et dans le temps.
Une leçon qui oblige à lever les yeux, à sortir de nos certitudes, à réviser nos cartes du réel.
Certains avancent même une échéance : l’horizon 2035, date à laquelle la “leçon” en cours pourrait atteindre son terme.
Non pas une apocalypse, mais un rendez-vous.
Rappel, pour aller plus loin :
L'entretien entre entre Simon (ET PAN !) et Michael Vaillant, est disponible ici (Youtube, 1h21).
Une mise en abyme personnelle
À mon échelle, avec ces fascicules, je crée aussi des micro-vagues de déconditionnement conscient.
C'est comme si comme si chacun de nous, en témoignant, participait de cette respiration globale.
Peut-être que le Phénomène ne nous montre pas seulement quelque chose.
Peut-être qu’il nous enseigne à devenir, nous aussi, des vecteurs de transformation.
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