Le Phénomène / Quand le nucléaire attire le ciel
Une récurrence troublante
Depuis les années 1940, une constante intrigue chercheurs et militaires :
les objets volants non identifiés apparaissent régulièrement autour des sites nucléaires.
Centrales civiles, bases de missiles stratégiques, usines d’enrichissement, zones d’essais…
Partout où l’humanité manipule l’atome, des phénomènes aériens étranges semblent se manifester.
Les missiles réduits au silence
En mars 1967, à la base de Malmstrom (Montana, États-Unis), dix missiles nucléaires cessent simultanément de fonctionner.
Les systèmes de contrôle deviennent inopérants.
Au même moment, les gardes en surface rapportent la présence d’un objet lumineux rouge stationnant au-dessus du site.
Un officier, Robert Salas, témoignera publiquement des années plus tard :
« Nos armes les plus puissantes étaient neutralisées. »
Les tests sous surveillance
Trois ans plus tôt, en 1964, un essai de missile Atlas à Vandenberg est observé par un télescope militaire.
La caméra enregistre un phénomène saisissant : un objet survole la tête du missile et semble le désactiver avant qu’il ne retombe.
Les images sont classifiées.
D’autres récits évoquent des survols répétés de silos ou de convois transportant des ogives.
Les centrales civiles aussi
Ce n’est pas seulement un enjeu militaire.
En France, dans les années 1980, plusieurs centrales nucléaires auraient été survolées par des « sphères silencieuses ».
Au Japon, après la catastrophe de Fukushima, de nombreux habitants de la préfecture voisine rapportent des observations anormales.
En Argentine, près du complexe de Bariloche, les témoignages se multiplient depuis des décennies.
Que faut-il en conclure ?
Ces cas ne permettent pas d’établir une intention claire.
S’agit-il de surveillance bienveillante, d’un avertissement, ou d’un simple effet d’attraction énergétique ?
Mais une chose est sûre : le nucléaire attire le phénomène comme un aimant.
Et cette régularité, sur plus de 70 ans et dans plusieurs pays, interdit de la balayer d’un revers de main.
Le lien entre OVNIs et nucléaire est l’un des plus solides et des plus documentés.
Il nous oblige à reconnaître que le phénomène ne se contente pas d’apparaître au hasard : il semble interagir avec ce que nous avons de plus sensible.
Dans le prochain fascicule, nous verrons pourquoi, malgré ces éléments troublants, le sujet reste encore tabou dans l’espace public français.