Le Phénomène / Ce que l’on voit vraiment (en 2017)
Des formes familières, des mouvements impossibles.
Depuis plus de soixante-dix ans, les témoignages s’accumulent à travers le monde.
Soucoupes volantes, sphères lumineuses, « tic-tacs » blancs sans ailes ni réacteurs, triangles noirs : les descriptions varient, mais une constante demeure — des objets qui semblent défier nos lois de la physique.
Ces formes ne sont pas des inventions de science-fiction. Elles apparaissent dans les radars, sur des caméras infrarouges, et sont observées à plusieurs reprises par des pilotes militaires entraînés à identifier chaque aéronef connu.
Les vidéos du Pentagone
En 2017, trois vidéos militaires sont rendues publiques : Nimitz, Gimbal et GoFast.
On y voit des objets capables de :
- passer de 20 000 mètres d’altitude à quelques centaines de mètres au-dessus de l’océan en une seconde,
- maintenir une trajectoire contre des vents violents,
- accélérer sans bang supersonique,
- se déplacer sans moyen de propulsion visible.
Ces vidéos, confirmées comme authentiques par le Pentagone, constituent un tournant. Pour la première fois, le gouvernement reconnaît qu’il existe des phénomènes aériens réels et non identifiés.
Des pilotes au témoignage direct
Des pilotes de la Navy, comme le commandant David Fravor, racontent avoir approché ces objets de près.
Leur constat est sans appel : « Ce que nous avons vu n’appartient à aucun catalogue connu d’aéronefs. »
Le plus troublant : les systèmes de détection multiples corroborent leurs observations. Ce ne sont pas des illusions visuelles, mais des phénomènes captés par radars, caméras et témoins humains.
Pourquoi cela compte
Ces témoignages et ces vidéos ne prouvent pas une origine extraterrestre.
Mais ils posent une question irréductible : qui ou quoi est capable de produire de telles performances technologiques ?
C’est cette interrogation — ouverte, non résolue — qui rend le sujet si sérieux.
Et c’est elle qui justifie que des parlementaires, des scientifiques et des militaires réclament aujourd’hui plus de transparence.
Vous avez sous les yeux certains des éléments les plus solides du dossier en 2017.
Ils ne disent pas tout, mais suffisent à montrer une chose : le phénomène est réel.
Le reste du chemin consiste à explorer ses contextes récurrents — comme vous le verrez dans le prochain fascicule, consacré au lien mystérieux entre les OVNIs et… le nucléaire.
𒆖 Quand le nucléaire attire le ciel