Le Phénomène / le journalisme citoyen en action
Quand les médias traditionnels se taisent, les citoyens parlent. De YouTube aux enquêtes indépendantes, une nouvelle écologie de l’information émerge autour du Phénomène.
Le silence des grands médias français ne signifie pas qu’il ne se passe rien.
Au contraire, l’information circule, mais ailleurs : dans les marges, dans les réseaux, sur les plateformes numériques.
C’est là qu’apparaît une nouvelle forme de journalisme : citoyen, passionné, souvent bénévole, mais d’une rigueur parfois bien supérieure à celle des institutions.
ET PAN ! : un point d’entrée accessible
Pour celles et ceux qui découvrent le sujet, la série documentaire ET PAN !, créée par Simon, est devenue une référence.
Découpée en plusieurs épisodes, elle déroule l’histoire du phénomène avec pédagogie et précision.
C’est une porte d’entrée idéale : elle donne des repères clairs, des faits sourcés, et permet d’entrer dans le débat sans se perdre dans la jungle des hypothèses.
Sentinel News : suivre l’actualité en direct
Pour les passionnés déjà accrochés au dossier, Sentinel News, mené par Baptiste Friscourt, propose un suivi au jour le jour.
Déclassifications, rapports, auditions, enquêtes internationales : rien n’échappe à cette vigie citoyenne.
C’est une ressource précieuse pour comprendre la dynamique mondiale, mais qui peut déjà demander une certaine familiarité avec le sujet.
Velasco sur YouTube : un symbole
Le 13 juillet 2025, Jean-Jacques Velasco, ancien responsable du GEIPAN, prend la parole pendant près de deux heures sur une chaîne YouTube grand public.
Un chiffre : 1,7 millions de vues.
Ce n’est pas seulement une interview.
C’est le signe qu’une bascule s’opère : les témoins historiques du phénomène sont invités sur Internet pour parler, et le public les suit.
Une onde lente
Le journalisme citoyen fonctionne comme une onde.
Pas de grandes annonces spectaculaires, mais une diffusion silencieuse, capillaire.
Des vidéos, des articles, des lives partagés, commentés, repris par des milliers de personnes.
Petit à petit, un tissu d’attention se forme.
Ce n’est pas une révélation d’en haut.
C’est un dévoilement d’en bas.
Une souveraineté du sensible
Ce mouvement dit quelque chose de plus profond : nous reprenons en main notre capacité à regarder le réel.
Ne plus attendre que les institutions valident ou ridiculisent.
Regarder par nous-mêmes.
Écouter les témoins, recouper, partager.
C’est une forme de souveraineté : non pas une vérité imposée, mais une sensibilité partagée.
Navigation
𒆖 Lire : l’imaginaire mondial (Brésil, Japon, États-Unis…)
𒆖 Retour à l'accueil